Marques et influenceurs, les 7 critères capitaux. (Impact.com)

C’est lors d’un webinaire avec Lydia Perrin de B&Q et Julia Salume de Moburst que San Sareen, Vice-Président Régional EMEA chez impact.com, est revenu sur ce qu’il devrait logiquement guider tout partenariat entre une marque et un influenceur.

Un influenceur doit commencer par exister

La première étape pour un influenceur est d’être vu par les marques. Chez B&Q, l’équipe de Lydia utilise des méthodes de recrutement via des agences et la plateforme impact.com pour filtrer les influenceurs par localisation géographique et d’autres critères. Contrairement à d’autres, B&Q ne collabore pas avec des créateurs qui les contactent directement, par manque de temps pour les évaluer.

La performance avant le reach

Julia chez Moburst privilégie les créateurs avec un engagement élevé plutôt que ceux avec une large audience mais une faible interaction.

La transparence financière

Les règlement des factures sont souvent source de complications, notamment avec les micro-influenceurs. Les marques doivent vérifier si ceux-ci sont correctement structurés, notamment en termes de TVA, pour des raisons de législations et de conformités financières.

Un brief clair et complet

La qualité du briefing initial est cruciale pour éviter les retours incessants et les incompréhensions. Lydia insiste sur la clarté du budget et des livrables attendus. Julia ajoute l’importance de préciser les droits d’utilisation dès le début, afin d’éviter des négociations ultérieures.

Les fameux KPI

Le suivi des métriques est essentiel pour évaluer l’efficacité d’une campagne d’influence. Julia observe le taux de clic ou de visionnage pour évaluer l’intérêt de l’audience. Chez B&Q, on suit aussi les ventes générées et le trafic web, comme dans un programme d’affiliation classique, grâce aux données de la plateforme impact.com.

Feu vert créatif

Les marques doivent trouver un équilibre entre leur message et l’authenticité du créateur. Un contrôle excessif de la marque peut dénaturer le contenu et affaiblir la relation avec le créateur. Julia souligne que cette liberté est essentielle pour conserver l’authenticité du créateur.

Ce que les marques attendent

Selon Lydia, les marques recherchent un contenu performant, peu coûteux et esthétiquement réussi. En pratique, il est difficile d’obtenir ces trois critères simultanément, d’où la nécessité de prioriser selon les objectifs, par exemple, pour une campagne rapide de Black Friday.

En résumé, bien que la technologie libère le secteur, certaines avancées peuvent nuire à l’authenticité. Julia et Lydia conviennent que les bots et l’IA devraient avoir un rôle limité dans la création de contenu d’influence, pour ne pas compromettre la crédibilité humaine.

Source : https://www.marketingdonut.co.uk/blog/24/10/secret-recipe-for-creator-content-seven-influencer-tips

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