Comment BCOVERY transforme une opportunité publicitaire manquée en une activation performante à impact carbone réduit?
Par Bcovery
Notre industrie est au pas de course : de nombreux efforts sont déployés pour baisser l’empreinte carbone de la publicité, de la fabrication à la diffusion et à la fin de vie des contenus, de la mesure à l’optimisation des campagnes.
Tout est repensé pour baisser notre consommation en énergie dans une quête de sobriété intelligente et créative. Les standards, référentiels et outils visant à baisser l’impact carbone des créations et des inventaires sont partout chez les agences, les régies et les plateformes. Même sur la chaîne programmatique, censée par sa complexité être beaucoup plus énergivore que l’achat direct, il est question d’optimisation des chemins d’accès et de réduction du nombre d’intermédiaires.
Tout cela va dans le bons sens, à un détail près : la sobriété est la clé, mais elle ne suffit pas. Il faut aussi s’attaquer directement au fléau du gaspillage publicitaire. Ce dernier est toujours à l’œuvre de manière quasiment indépendante. La raison est que ce phénomène existe de manière je dirais presque autonome et indépendante de toutes les bonnes volontés.
Les impressions gaspillées, ce fléau du marché publicitaire
Le gaspillage publicitaire est une réalité quotidienne. Il suffit d’un bug entre les serveurs des plateformes, d’une erreur dans le CSS du placement sur la page de l’éditeur ou des erreurs d’API pour qu’on perde l’occasion de servir l’impression.
Que se passe-t-il alors ? Pas grand-chose si on ne fait rien. Et c’est dans le détail que se cache le diable. Parce qu’une fois générée, trop tard, l’impression a déjà impacté l’empreinte carbone de la campagne. La raison est simple : l’activation d’une campagne publicitaire en ligne est responsable de plus de 50 % de son émission carbone. Quand on sait que 20 % de l’inventaire d’un site web est composé d’impressions gaspillées… on peut se demander comment est-ce possible que cette situation perdure.
Que faire alors ? Comme dans la vie réelle, en plus de consommer moins, il nous faut trouver des solutions pour recycler l’existant… Contrairement au plastique, les impressions publicitaires sont recyclables à quasiment 100 %. Et c’est précisément ce que nous faisons chez BCOVERY
Neutraliser le gaspillage publicitaire grâce au recyclage
Notre techno s’intègre au site de la marque ou de l’éditeur et agit en vérifiant le contenu et la structure HTML des emplacements. Lorsqu’une impression fantôme survient pour des raisons techniques, notre algorithme propriétaire analyse l’impression, détecte le facteur bloquant et le résout pour la réinjecter dans le circuit. C’est comme cela qu’en 2022 nous avons recyclé plus de 19 milliards d’impressions publicitaires.
Toutes ces impressions sont analysées par nos algorithmes afin de mettre à disposition du marché uniquement celles qui performent (taux de clic de 0,1 % minimum) et qui sont visibles (taux de visibilité de 70 % minimum). L’achat se fait au sein de la marketplace RSE de BCOVERY qui donne accès à l’impression directement chez l’éditeur. L’absence d’intermédiaires réduit l’empreinte. De même, les annonceurs qui viennent chez nous acceptent de jouer le jeu en se cantonnant aux formats IAB et en respectant des limites pour les poids des créatives à ne pas dépasser.
#Impressionsrecyclées, créatives #bascarbone et achat média direct : le triptyque gagnant qui allie lutte #antigaspillage, grâce à une démarche de récupération et de valorisation, et sobriété.